Depuis , le début des années 2000, nous entendons régulièrement que les déodorants à base de sels d’aluminium présentent un risque important. En effet, il favoriserait l’apparition des cancer du sein.
Comme un marronnier, l’information réapparaît (d’autant plus à l’approche de l’été), et mets en garde les utilisatrices d’un risque avéré entre usage d’une déodorant aux sels ‘aluminium et cancer du sein.
Or comme dans de nombreux cas, la réalité ne s’avère pas aussi simple.
Certes il existe une série d’études sur ce risque, mais à ce jour aucune d’entre elles ne concluent de manière scientifique et définitive à un quelconque lien entre aluminium et cancer du sein.
Il est également intéressant de voir que de nombreuses parutions nient ce risque, sans pour autant bénéficier du même écho médiatique.
Par exemple, la fondation contre la cancer Belge, faisait paraître il y a quelques temps un article niant le lien de cause à effet entre aluminium et cancer du sein :https://www.cancer.be/le-cancer/risque-non-d-montr/d-odorant-et-cancer-du-sein-pas-de-lien-de-cause-effet
Et la pierre d’alun qu’en est il ?
Comme nous l’avons vu précédemment à ce jour c’est le chlorhydrate d’aluminium, qui attirait à lui toutes les lumières. Mais dans le but de simplifier la chose et pouvoir expliquer cela aux béotiens, que nous sommes, la tendance fut de généraliser cela à l’ensemble des sels d’aluminium, sans pour autant de véritables bases scientifiques.
Or à ce jour :
La pierre d’alun naturelle, ne contient pas de chlorhydrate d’aluminium
Le passage transcutanée de l’alun, n’a pas été prouvée.
Bref, à ce jour nous pouvons proposer nos produits à base de pierre d’alun certifiée d’origine naturelle en toute quiétude.